La légende :

" Le cas Cou ! Son origine rappelle le patronyme d'un bienfaiteur de notre ville : Lucas Cou qui naît en l'an de grâce 1324. Seuls, Lucas Cou et sa digne épouse, la Glaudine échappent par miracle à ce terrible fléau ! Au lieu de se laisser aller au désespoir, dans un bel élan d'optimisme, ils décident de repeupler la ville devenue déserte. Et c'est ainsi que Lucas, vaillamment avec obstination, agrandit sa famille et recréé, avec ses enfants, petits-enfants et tous ses descendants la population de notre brave cité. Quand Lucas se meurt à 91 ans, le Roi Charles VI, vous savez bien Jeanne d'Arc, veut connaître la vie de ce vaillant parodien, et sur ordre du Duc, le Grand Bailly de Bourgogne va tout exprès à Paris exposer le "Cas Coup". Depuis ce jour, tous les parodiens sont désormais qualifiés de "Cacous". Le fils aîné de Lucas reçoit le premier, le nom maintenant célèbre et illustre de JEAN-MARIE CACOU.
" La tradition orale garde soigneusement au fil des siècles le souvenir des paroles, des maximes et des exploits les plus remarquables que Jean-Marie et ses descendants ont réalisés."
Dans ce quartier ancien où naît Jean-Marie Cacou, une place porte son nom. Au fil des âges, se perpétue la mémoire de Jean-Marie Cacou, gloire de la table parodienne.